De quel amour sont aimées tes demeures,
Seigneur, Dieu de l’univers !
Mon âme s’épuise à désirer les parvis du Seigneur ;
mon cœur et ma chair sont un cri vers le Dieu vivant !
L’oiseau lui-même s’est trouvé une maison,
et l’hirondelle, un nid pour abriter sa couvée :
tes autels, Seigneur de l’univers,
mon Roi et mon Dieu !
Heureux les habitants de ta maison :
ils pourront te chanter encore !
Heureux les hommes dont tu es la force :
des chemins s’ouvrent dans leur coeur !
Oui, un jour dans tes parvis
en vaut plus que mille.
J’ai choisi de me tenir sur le seuil,
dans la maison de mon Dieu.
Ps 83, 2-3, 4, 5-6, 11abc
Image : Eglise des Contamines-Montjoie